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Le fantôme d'Ernest Coeurderoy
Por Patrice Faubert - Tuesday, Jun. 20, 2017 at 3:52 AM

Un peu de rien, un peu de tout...

" Pour faire passer la révolution, comme un fer rouge, à travers ce siècle, une seule chose est à faire : démolir l'Autorité. ( ... ) Que chacun s'interroge et qu'il dise si c'est de gré ou de force qu'il supporte qu'un autre se proclame son maître et agisse comme tel. "

Ernest Coeurderoy ( 1825-1862 )

Dès l'antiquité
Le poisson électrique servit à l'anesthésie
Puis, plus tard, contre la crise épileptique
Et aussi peut-être à recharger les téléphones cellulaires
La technologie, de tout, se sert
Le scandale du logement
En France, mais aussi ailleurs
Pour le payer, perdues sont les heures
Il faut y donner son sang !
Et même parfois travailler
Et malgré tout, dehors coucher
Toujours perdre sa vie
A vouloir la gagner
A vouloir la payer
La prison de la propriété
La propriété de la prison
C'est le monde
Des marchands de biens
Des avocats d'affaires, ô immondes !
Une décharge de poisson électrique
Cela fait mal
Pour ces piliers du capital !
Et du salariat, c'est 13 pour cent pour s'alimenter
Et du salariat, c'est 25 pour cent pour se loger
Tout ou presque pour se loger
Et très peu pour manger, pour se soigner
Par rapport à 1980, cela est inversé
Oh ! réactionnaire la France
Ou comme ailleurs, c'est le joug de la finance
Et de moins en moins de vacances
Sur toute la planète, le capitalisme impose sa démence !
Comment ne pas devenir des anarchistes ?
Des révoltés, des insoumis, des anti-électoralistes ?
C'est la force de l'engrammation, du conditionnement
Qui fait subir et accepter un système dément !
Mais l'anarchisme a ses saints et ses mandarins
Chanteurs, poètes, savants, théoriciens
Ses organisations, et toute ses bureaucraties
Cela n'est justement pas l'anarchie
Qui est elle sans aucune hiérarchie
Qui accepte le désordre du départ
Et ne veut aucunement le moindre faire-part !
L'inhumanité est tolérée
L'inhumanité a fait son lit, pour partout s'imposer
Elle est devenue la normalité
Comme de fait l'agressivité
Ne pas en être, c'est la totale anormalité !
Et la plupart des gens ne peuvent imaginer
Une autre société, sans aucune exploitation
Sans autorité, sans chefferie, où tout soit gratuit et partagé
Comme chez les fourmis où c'est appliqué
Nonobstant
C'est seulement une question de nouvelle mentalité
Qui sait qu'à cela, elle peut tout y gagner
Plus de pauvres, plus de riches
Mais la vie authentique pour seule niche
Et des préjugés, lieux communs, jugements de valeurs
Plus personne n'aurait la peur
Et aussi toute la misère sexuelle
Qui est partout chez elle
Cette énergie en stase, en tension, devient de la guerre
D'une façon l'autre, il faut payer, pour se satisfaire
Des éducations réactionnaires la sexualité est prisonnière !
Nous pourrions naître et sourire
Au lieu de naître et de crier
L'haptonomie est là pour s'y inscrire
De l'obstétrique qui est à rééduquer, pour enfin rire
Naître dans l'eau
Serait plus sain, plus rigolo
Nous qui sortons, de nos mères, des eaux
Mais les mandarins
Dans tous les domaines, de A à Z, sont nos freins
Toutes les idéologies et religions, les croyances, en sont les reins !
Ce sont là toutes sortes de nazis
Qui depuis toujours, confisquent toutes les vies
Richesse ou pauvreté, le processus est infini
Je suis un peu lu
Par des gens qui me sont inconnus
Mes puésies, peuésies, pouésies
Qui sont sans aucune cachotterie
Sont complètement ignorées
Des personnes qui acceptent de me fréquenter
Et c'est ainsi souhaité !
L'écriture électronique
N'est d'aucune valeur
C'est une illusion d'optique
Du livre, elle n'a pas la saveur
Aucune trace, c'est simplement thérapeutique
Une giclée de sperme, orgasme informatique !
Aussi puis-je m'amuser
Aucune importance en vérité
Tout y est de la pure virtualité !
Sauf la mort, cette mariole
Même pour feu ( 1710-1774 ) Louis 15, mort puant
Se décomposant, qui puait la variole
Odeur insoutenable, il fallut l'enterrer, comme un manant
Je suis un mégalodon à toute effigie
Même si c'est en catimini
Seule la mort de nos proches
Nous touche profondément, c'est moche
Les seules personnes que nous connaissons vraiment, c'est ainsi !
En 2200, tout sera mort
Ou tout sera technocorps
Les roboticiens seront politiciens
Si aujourd'hui, nous ne faisons rien
C'est déjà l'informatique émotionnelle
Censée nous faire la vie belle
En Corée du Sud, c'est le début
C'est l'autisme dans tous nos instituts
L'empathie, la fraternité, l'entraide, c'est foutu !
L'inhumanisme veut s'humaniser
A l'école, à l'usine, à l'université, à l'armée
Le cyborg, le robot, pour nous singer
L'être humain augmenté
De la fin de l'humanité déjà programmée
Et qui pourra en profiter
Sinon des classes privilégiées ?
Comme pour le trafic d'organes
Dont le rein est l'acteur principal
Marché noir, mafia, c'est banal
C'est comme pour la came
Contre cela, la légalisation
Est la plus grande compréhension
Comme le cannabis en Uruguay
( né en 1935 ) José Mujica l'a fait
Ce président ancien des Tupamaros
Que beaucoup d'autres, est le moins sot
C'est moins dangereux que l'alcool
Qui à haute dose, rend l'humeur folle
C'est là une drogue encouragée
Car elle stimule la compétitivité et l'agressivité
Mais aussi les violences conjugales
Envers les femmes mais aussi envers les hommes
Comme de la foudre en boule
Qui d'un seul coup se défoule
Toujours et encore la violence sociétale
Tout s'irradie, tout se multiplie
Tout s'exporte, tout s'importe
Cela ne fait pas un pli !
Et jamais cela ne finit
Alors que le cannabis fait se détacher
Ce qui explique sa mauvaise publicité !
9 milliards de planètes habitées
Peut-être dans notre voie lactée
Tous nos rêves, tous nos cauchemars
Y sont de toute éternité
A l'univers, au multivers, tout est multiple, tout est rare
C'est feu ( 1879-1944 ) Paul Poiret
Qui confectionna les uniformes de l'armée française
En 1914, chair à canon, pour qu'elle se taise
C'est feu ( 1894-1961 ) L.F.Céline
De Sigmaringen, dépeçage, de son écriture indigne
C'est ma ville de Tonnerre
Et sa médiathèque bibliothèque Ernest Coeurderoy
Feu ( 1825-1862 ) Ernest Coeurderoy, révolutionnaire inclassable
Anarchiste hors les clous, indomptable
Je le lisais, jadis, en sa vision délurée, j'avais foi
Et dans l'ailleurs, tout se fait, tout se défait, tant de fois !
L'humeur vagabonde
Toujours ou jamais ne gronde
Comme A.Q.N.I
Ce site qui sur moi, déverse des calomnies
Des mesquineries et autres jalousies
Ils pensent à nous nos ennemis
Bien plus encore que nos amis
Vraiment, je les en remercie
Moi, l'anonyme, l'inconnu, le rien
Si vous saviez comme j'en ris bien !
Même si tout se tient
Même si tout est un seul lien
De toutes choses, je suis lointain
Justement pour ne pas être hautain
Pour la bien-pensance
Pour la bienséance
Pour le politiquement correct
Du gauchisme, de l'anarchisme, du libéralisme
Du fascisme, du nazisme, du capitalisme
Le cela ne se fait pas
Le toutim qui rythme nos pas
A tout cela, je suis un vaurien
De toutes nos manigances, je suis un gamin !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


“Para hacer pasar la revolución, como un hierro rojo, a través de este siglo, una única cosa debe hacerse: demolir la Autoridad. (…) que cada uno se pregunta y que diga si es de voluntad o fuerza que soporta que otro se declara a su amo y actúe como telf.”

Ernest Coeurderoy (1825-1862)

A partir de la antigüedad
El pescado eléctrico sirvió a la anestesia
Luego, más tarde, contra la crisis epiléptica
Y también quizá a recargar los teléfonos celulares
La tecnología, de todo, se sirve
El escándalo del alojamiento
En Francia, y también a otra parte
Para pagarlo, perdidas son las horas
¡Hay su sangre!
E incluso a veces trabajar
Y a pesar de todo, afuera dormir
Siempre perder su vida
A querer ganarlo
A querer pagarlo
La prisión de la propiedad
La propiedad de la prisión
Es el mundo
Agentes de la propiedad inmobiliaria
¡Abogados de asuntos, ô inmundos!
Una descarga de pescado eléctrica
Eso hace mal
¡Para estos pilares del capital!
Y del asalariado, esto es 13 para - cientos para abastecerse
Y del asalariado, esto es 25 para - cientos para colocarse
Todo o casi para colocarse
Y muy poco para comer, ocuparse
Con relación a 1980 se invierte eso
¡¡oh!! reaccionario Francia
O como a otra parte, es el yugo de las finanzas
Y cada vez menos vacaciones
¡Sobre todo el planeta, el capitalismo impone su demencia!
¿Cómo no volver anarquistas?
¿Rebelados, insumisos, antiélectoralistes?
Es la fuerza del engrammation, del acondicionamiento
¡Quién hace sufrir y aceptar un sistema lunático!
Pero anarquismo tiene sus santos y sus mandarines
Cantantes, poetas, científicos, teóricos
Sus organizaciones, y todas sus burocracias
Eso no es precisamente la anarquía
Quién es ella sin ninguna jerarquía
Quién acepta el desorden de la salida
¡Y no quiere en ningún caso la menor participación!
Se tolera la inhumanidad
La inhumanidad hizo su cama, para por todas partes para imponerse
Se convirtió en la normalidad
Como hecho la agresividad
¡No no ser, es el total anormalité!
Y la mayoría de la gente no pueden imaginar
Otra sociedad, sin ninguna explotación
Sin autoridad, sin chefferie, donde todo sea gratuito y compartido
Como en las hormigas donde es aplicado
A pesar de
Es solamente una cuestión de nueva mentalidad
Quién sabe que a eso, puede hay
Más pobres, más ricos
Pero la vida auténtica para solo nicho
Y de los prejuicios, tópicos, juicios de valor
Más nadie tendría el miedo
Y también toda la miseria sexual
Quién está por todas partes en ella
Esta energía en stase, en tensión, pasa a ser de la guerra
De una manera otro, es necesario pagar, para satisfacerse
¡Educaciones reaccionarias la sexualidad es prisionera!
Podríamos nacer y sonréir
En vez de nacer y gritar
El haptonomie es allí para inscribirse
De la obstetricia que debe rehabilitarse, para por fin para reir
Nacer en el agua
Sería más sano, más cachondo
Nosotros quienes salen, de nuestras madres, de las aguas
Pero los mandarines
En todos los ámbitos, de A a Z, son nuestros frenos
¡Todas las ideologías y religiones, las creencias, son los riñones!
Son allí toda clase de nazis
Quiénes desde siempre, confiscan todas las vidas
Riqueza o pobreza, el proceso es infinitos
Se me lee un poco
Por gente que me es desconocida
Mes puésies, peuésies, pouésies
Quiénes están sin ningún tapujo
Completamente se ignoran
Personas que aceptan frecuentarme
¡Y se desea así!
La escritura electrónica
No es de ningún valor
Es una ilusión óptica
Del libro, no tiene el sabor
Ningún rastro, es simplemente terapeútico
¡El rociada de esperma, orgasmo informático!
Por eso puede divertirme
Ninguna importancia en verdad
¡Hay de la pura virtualidad!
Excepto la muerte, este mariole
Incluso para fuego (1710-1774) Louis 15, muerto apestando
Dividiéndose, que apestaba la viruela
Olor insoportable, fue necesario enterrarlo, como un patán
Soy un mégalodon a toda efigie
Aunque es en catimini
Sola la muerte de nuestros prójimos
Nos afecta profundamente, es feo
¡Las únicas personas quienes conocemos de verdad, es así!
En 2200, todo se habrá muerto
O todo será technocorps
Los ingenieros de robótica serán políticos
Si hoy, no hacemos nada
Ya es la informática emocional
Supuesta hacernos la vida bonita
En Corea del Sur, es el principio
Es el autismo en todos nuestros institutos
¡Se ponen la empatía, la fraternidad, la ayuda mutua esto!
El inhumanisme quiere humanizarse
A la escuela, a la fábrica, a la universidad, al ejército
El cyborg, el robot, para nosotros singer
El ser humano aumentado
Del final de la humanidad ya programada
Y que podrá aprovecharse
¿Si no de las clases privilegiadas?
Como para el tráfico de órganos
El que riñón es el protagonista principal
Mercado negro, mafia, es banal
Es como para la leva
Contra eso, la legalización
Es la mayor comprensión
Como el cannabis en Uruguay
(nacido en 1935) José Mujica lo hizo
Este Presidente antiguo del Tupamaros
Que mucho otros, son el menos tontos
Es menos peligroso que el alcohol
Quién a alta dosis, vuelve el humor loca
Es allí una droga fomentada
Ya que estimula la competitividad y la agresividad
Pero también las violencias maritales
Hacia las mujeres y también hacia los hombres
Como el rayo en bola
Quién de golpe se libera
Siempre y aún la violencia empresarial
Todo se irradia, todo se multiplica
Todo se exporta, todo se importa
¡Eso no hace un pliegue!
Y nunca eso no termina
Mientras que el cannabis hecho trasladarse
¡Lo que explica su mala publicidad!
9 mil millones de planetas habitados
Quizá en nuestra vía láctea
Todos nuestros soñados, todos nuestras pesadillas
Allí son de toda eternidad
Al universo, al multivers, todo es múltiple, todo es raro
Es fuego (1879-1944) Paul Poiret
Quién hizo los uniformes del ejército francés
En 1914, carne de cañón, para que se calle
Es fuego (1894-1961) L.F.Céline
Por Sigmaringen, despedazamiento, de su escritura indigna
Es mi ciudad de Trueno
Y su medioteca biblioteca Ernest Coeurderoy
Fuego (1825-1862) Ernest Coeurderoy, revolucionario inclasificable
Anarquista fuera de los clavos, indomable
Lo leía, antes, en su visión avispada, yo tenía fe
¡Y en el a otra parte, todo se hace, todo se deshace, tanto veces!
El humor vagabundo
Siempre o nunca no truena
Como A.Q.N.I
Este lugar que sobre mi, vierte calumnias
Mezquindades y otros celos
Piensan nosotros a nuestros enemigos
Bien más aún que nuestros amigos
De verdad, los agradezco
Mí, el anónimo, el desconocido, nada
¡Si sabía bien como yo en rizo!
Aunque todo se tiene
Aunque todo es un único vínculo
Por todas las cosas, estoy alejado
Precisamente para no ser altivo
Para el bien-pensance
Para la conveniencia
Para el políticamente correcto
Izquierdismo, anarquismo, liberalismo
Fascismo, nazismo, capitalismo
Eso no se hace
El toutim que da ritmo nuestros pasos
A todo eso, soy un granuja
¡De todas nuestros esquemas, soy un niño!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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