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Exuvie psychologique
Por Patrice Faubert - Thursday, Sep. 28, 2017 at 2:16 AM

Pour une révolution mentale...

Les médicaments peuvent rendre folles et fous
Hier comme aujourd'hui, le même coût
Comme dans le film avec feu ( 1909-1984 ) James Mason, grand acteur
De la cortisone au REQUIP, même malheur
Et des comportements transformés
Le jeu, le sexe, la mégalomanie
La dopamine qui atomise l'apathie
Le médicament qui peut rendre dément
Dr Jekyll et Mr Hyde, pas marrant !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est un médicament aux effets indésirables
Car il faut supporter l'intolérable
Et c'est pourtant la même table !
Tout être humain est une usine chimique
Le Ropinirole aux effets psychologiques
Comme le discours logique
Cette drogue de la politique !
Comme le médicament mortifère de feu ( 1915-2006 ) Pinochet
Via les USA pour imposer le fascisme libéral
Exit feu ( 1908-1973 ) Allende, seul le peuple le voulait
Le laboratoire du fascisme libéral commençait
Dans la terreur, puis par conditionnement, au moindre mal
Et les prisons du capital
Qui à tous les humains sont fatales
Sont une horreur, elles sont là pour faire peur
Parmi les pires, c'est la France, pas d'erreur
" 'L'envolée " journal contre toutes les prisons
L'enfer carcéral cela n'est pas rien
Tant de copains à moi ont fait de la prison
Comme par mètre carré dans le sol, 300.000 acariens
Et des peines de prison, en France, du moins
De plus en plus longues, par dizaines d'années
Le prisonnier n'est pas un chêne qui peut vivre 2000 années
Tous les fascismes sont à exterminer !
Il y a les ennemis déclarés
D'une révolution intégrale et globale
Et les pires, les ennemis cachés
Militantisme, gauchisme, l'arme fatale
Comme l'ancien gauchiste, par les militaires, torturé
Et qui une fois au pouvoir, la même politique, va appliquer
Comme au Brésil, et tout peut recommencer !
Les fascistes, l'on sait à qui l'on à affaire
Arrivistes éduqués ou brutes débiles pour frapper
Les gauchistes sont de faux révolutionnaires
Leurs actions sont toujours immobiles
Contester pour faussement contester, c'est futile
Ils sont aussi crétins
Sinon plus, que les staliniens !
Ils veulent militer toujours plus
Pour une révolution dévalorisée, minus
L'ennemi du gauchiste, ami du faux
N'est pas le fasciste, son jumeau
Mais le vrai anarchiste, qui crache toutes les autorités !
Gauchistes, libéraux, staliniens, nazis, fascistes, démocrates
Du capital, de la contre-révolution, toutes les cartes !
Ainsi elle aime les alliances
S'embrasser, se faire des confidences
La révolution globale et intégrale
Et sans hypocrisie, le massacre serait général
Bref, la révolution du mental
N'aime pas le fascisme, le nazisme
N'aime pas le gauchisme, le stalinisme
Le libéralisme, le démocratisme
Toutes les religions qui font les soumissions
Toutes les idéologies qui font les séparations
Tous les visages du capitalisme !
Finalement, l'écriture est plus utile
Qu'agir n'importe comment
Et renforcer le système, seul ou à mille
Et si tout ou presque renforce ce système invalidant
C'est ne plus rien faire du tout
Ou le moins possible et c'est vraiment fou
Qui serait le plus réellement révolutionnaire
Et mieux vaut ne rien faire que brasser de l'air !
Les animaux aussi pâtissent de l'inhumanité
Car il n'y a que de l'inhumanité et pas d'humanité
Comme en 1914/1918, et 11 millions de chevaux
Qui furent tués, dont 1,800 millions en France
Pourtant, 450 grammes de viande pour chaque soldat
Paradoxe de la pitance
Et ce tous les jours, pas du rat
Les guerres n'aiment pas les animaux
Pigeons, et autres chiens du sanitaire, du réconfort
Chiens sentinelles et chiens messagers
Dont certains furent décorés
Pour tout ce qui vit, les guerres sont des charniers !
Certes, je ne suis pas cornucopien
Moi, si proche du rien
Et déplaisant à tout un chacun
Sachant, par exemple, que 75 pour cent
Des molécules de l'industrie pharmaceutique
Sont mangés par ce que nous mangeons
Les vaches, poulets, veaux, cochons
Le capital est un antibiotique !
Tout est dans le vertical
Comme dans les mégapoles
Comme au Brésil ou ailleurs, la hiérarchie n'est pas horizontale
Et de nombreux buildings à Sào Paulo, piscines, jardins
Hélicoptères et tout ce qui fait bien
12 millions de gens, riches en hauteur
Pauvres en favelas et tous leurs pleurs
Le tout vertical comme dans le social
Et la surpopulation qui fait mal !
Et avec la distance de non-agression
Un ou deux bras tendus, chez les humains
Dans quelques cultures, un peu moins
Cela se constate dans les métros des villes
Grattage de nez, détournement des regards, chaussures fixées
Comme chez les mammifères et oiseaux
Tous les gestes de dérivation
Par l'agression de la surpopulation
Il faut une aile chez les hirondelles
Il y a toujours une distance de non-agression
Sinon, c'est le conflit, la guerre, c'est la surpopulation
Vive l'avortement, la stérilisation, la contraception
Et tout ce que nous reprochons aux autres
Tout ce que les autres nous reprochent
Nous pourrions nous le reprocher
Car je c'est nous, ce sont les autres
Tout est étroitement imbriqué et c'est la mêlée
Nous ne sommes un peu différents
Que par nos divers conditionnements !
Nous sommes à la fois, idiots et géniaux
Peureux et courageux, en réalité, le même sang, la même peau
La libellule fait son exuvie physique
L'espèce humaine doit faire son exuvie psychologique
Et même si sous notre Terre, de l'eau en grande quantité
Peut-être comme nos mers et océans, en quantité
La roche et son prisonnier, le rapport humain, lui, reste à élaborer !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

Los medicamentos pueden volver locos y ponen
Ayer como hoy, el mismo coste
Como en la película con fuego (1909-1984) James Mason, gran protagonista
La cortisona al REQUIP, misma desdicha
Y de los comportamientos transformados
El juego, el sexo, la megalomanía
El dopamine que atomiza apatía
El medicamento que puede volver lunático
¡Dr. Jekyll y el Sr. Hyde, no divertido!
La sociedad espectacular comercial tecnoindustrial
Es un medicamento a los efectos indeseables
Ya que es necesario soportar el intolerable
¡Y es con todo la misma tabla!
Todo ser humano es una fábrica química
El Ropinirole a los efectos psicológicos
Como se ella extienden lógico
¡Esta droga de la política!
Como el medicamento mortífero de fuego (1915-2006) Pinochet
Vía los EE.UU para imponer el fascismo liberal
Salida fuego (1908-1973) Allende, solamente el pueblo lo quería
El laboratorio del fascismo liberal comenzaba
En el terror, luego por acondicionamiento, al menor mal
Y las prisiones del capital
Quiénes al todo humanos son inevitables
Son un horror, están allí para dar miedo
Entre el peor, es Francia, no error
“'La elevación” Diario contra todas las prisiones
El infierno carcelario eso no es nada
Tanto amigos mi hicieron la prisión
Como por metro cuadrado en el suelo, 300.000 acáridos
Y de las penas de prisión, en Francia, al menos
Cada vez más largas, por decenas de años
El preso no es un roble que puede vivir 2000 años
¡Todos los fascismos deben exterminarse!
Hay los enemigos declarados
De una revolución íntegra y global
Y el peor, los enemigos ocultados
Militantismo, izquierdismo, el arma inevitable
Como el antiguo izquierdista, por los militares, torturado
Y que una vez al poder, la misma política, va a aplicar
¡Tan en Brasil, y reiniciarlo todo puede!
Los fascistas, se sabe a quienes se a asunto
Arribistas educados o brutos débiles para afectar
Los izquierdistas son de falsos revolucionarios
Sus acciones son siempre inmóviles
Impugnar para impugnar falsamente, es vano
Son tan cretinos
¡Si no más, que los estalinistas!
Quieren militar más siempre
Para una revolución devaluada, bobalicón
El enemigo del izquierdista, amigo de la guadaña
No es el fascista, su gemelo
¡Pero el verdadero anarquista, que escupe a todas las autoridades!
Izquierdistas, liberales, estalinistas, nazis, fascistas, demócratas
¡Del capital, la contrarrevolución, todas las tarjetas!
Así le gustan las alianzas
Abarcarse, hacerse de las confianzas
La revolución global y íntegra
Y sin hipocresía, la masacre sería general
Resumidamente, la revolución del mental
No gusta el fascismo, el nazismo
No gusta el izquierdismo, el estalinismo
El liberalismo, el démocratisme
Todas las religiones que hacen las ofertas
Todas las ideologías que hacen las separaciones
¡Todas las caras del capitalismo!
Por último, la escritura es más útil
Que actuar de todos modos
Y reforzar el solo sistema, o a miles
Y si todo o casi refuerza este sistema que invalida
Es hacer más nada del conjunto
O lo menos posible y es de verdad loco
Quién sería el lo más realmente posible revolucionario
¡Y es mejor hacer nada que elaborar cerveza del aire!
Los animales también sufren de la inhumanidad
Ya que sólo hay de la inhumanidad y no humanidad
Como en 1914 /1918, y 11 millones de caballos
Quiénes se mató, cuyos 1,800 millones en Francia
Con todo, 450 gramos de carne para cada soldado
Paradoja de la pitanza
Y esto todos los días, no de la rata
A las guerras les no gustan a los animales
Palomas, y otros perros del sanitario, del consuelo
Perros centinelas y perros mensajeros
Que algunos se decoraron
¡Para todo lo que vive, las guerras son sepulcros de masa!
Ciertamente, no soy cornucopien
Mí, así cerca del nada
Y desagradando a cada uno
Sabiendo, por ejemplo, que 75 para - cientos
Moléculas de la industria farmacéutica
Se comen por lo que comemos
Las vacas, pollos, terneros, cerdos
¡El capital es un antibiótico!
Todo está en vertical
Como en las megápolis
Como en Brasil o en otros lugares, la jerarquía no es horizontal
Y numerosos edificios a Sào Paulo, piscinas, jardines
Helicópteros y todo lo que hace bien
12 millones de gente, rica en altura
Pobres en favelas y todos sus llantos
Todo ello vertical como en el social
¡Y la superpoblación que hace mal!
Y con la distancia de no agresión
Unos o dos brazos tensos, en los humanos
En algunas culturas, algo menos
Eso se constata en los metros de las ciudades
Raspadura de nariz, desvío de las miradas, zapatos fijados
Como en los mamíferos y pájaros
Todos los gestos de derivación
Por la agresión de la superpoblación
Es necesario un ala en las golondrinas
Hay siempre una distancia de no agresión
Si no, es el conflicto, la guerra, es la superpoblación
Viva el fracaso, la esterilización, la contracepción
Y todo lo que acusamos a los otros
Todo lo que el otros nos acusan
Podríamos acusárnoslo
Ya que yo es nosotros, son el otro
Todo se imbrica estrechamente y es la batalla
No somos un poco diferentes
¡Que por nuestros distintos acondicionamientos!
Somos, idiotas y brillantes a la vez
Temeroso y valiente, realmente, la misma sangre, la misma piel
La libélula hace su exuvie físico
La raza humana debe hacer su exuvie psicológico
Y aunque bajo nuestra Tierra, agua en gran cantidad
Quizá como nuestros mares y océanos, en cantidad
¡La roca y su preso, el informe humano, le queda por elaborar!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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