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Paraphysique de Tako-Tsubo
Por Patrice Faubert - Sunday, Oct. 01, 2017 at 4:35 AM

Du syndicalisme cogestionnaire...

SMS reçu de Nantes
Avec une texture édifiante
Ce, à propos de la manifestation du jeudi 21 septembre
Moi, j'étais à Paris, cortège CNT, sans en être membre
Avec mon drapeau anarchiste personnel
Car aux luttes sociales, je me mêle
Mais je préfère manifester avec les anarchistes
Car je me méfie des bureaucrates syndicalistes
Anarchosyndicalistes et encore plus des anarchopossibilistes
Donc, ce sms, qui disait :

" Récapitulation des blessés après regroupement des infos, quatre
blessés aux urgences. Cinq personnes touchées au crâne. Vingt-cinq
personnes touchées par des tirs de grenades. Beaucoup de personnes
touchées par des grenades de désencerclement. Tout le monde gazé. "

Tara et Fred

Bref, comme d'habitude à Nantes
Où, comme ailleurs, la police fait ce qui lui chante
Si je devais compter le nombre de fois, où j'ai été gazé
Quasiment à chaque fois où j'ai pu manifester
La plupart du temps à Nantes
C'est un peu comme une rente
Et dans l'absolu
Il faudrait manifester contre tout
Le capital étant partout
Le capital étant absolu
Tous les partis en font partie
Tous les syndicats en font partie
Presque toutes les organisations en font partie
Presque toutes les associations en font partie
Aussi, vive l'anarchie, vive la rue
je viens de désigner, de la révolution, tous les ennemis
Je viens de désigner, de la révolution, toutes les ennemies
Cela n'est pas être sectaire
Que de rester sur de vraies positions révolutionnaires
L'on ne peut s'allier, avec qui, vous trahira plus tard
Leçon historique que devrait connaître tout anar
Pour lui, une balle dans le dos
Ou dans la nuque, une fois le citron bien pressé
Des communistes staliniens, une spécialité
Des communistes trotskistes, pour infiltrer
Voilà bien de faux communistes, de faux révolutionnaires
Les vrais communistes ne pouvant être que libertaires
Et de 1936, pour évoquer cet air
De la Catalogne libertaire
Voir ou revoir le documentaire
" Vive l'anarchie, CNT AIT FAI IFA "
Sur Internet, qui en donne une petite idée, voilà
Tous les hommes d'Etat sont des pourris
Ne défendant que les nantis
Comme feu Nixon, ce président nazi
Et feu Kissinger, à la pourriture infinie
Viêt Nam :
Environ 58000 soldats américains tués
Et environ deux millions de soldats et civils vietnamiens tués
Environ un mort américain
Pour environ quarante tués vietnamiens
Dès 1858, par les français, l'Indochine fut colonisée
Puis de 1945 à 1975, la guerre du Vietnam à proprement parler
Le vrai courage était de la refuser
Le vrai courage était de la déserter
Mais, hélas
Tout est prêt à recommencer
D'une façon l'autre, qui semble ne pas se répéter
Sur Terre, tout est My Lai, tout est massacré
16 mars 1968, femmes, enfants, nourrissons, vieillards, éliminés
Des civils Sud-vietnamiens
Par des soldats et officiers américains
Mutilés, violés, mitraillés, donc tués
Un véritable charnier
Et parmi les coupables, aucun vrai condamné
La morale militaire, il fallait protéger !
C'est maintenant le business de l'agroalimentaire
Qui nous tue lentement, tout un savoir-faire
Ou même, et ce à 14 pour cent, le prétendu bio
Contient des résidus d'insecticide, d'herbicide, de fongicide
Quand aux produits conventionnels, c'est à 97 pour cent
Tout cela est retrouvé dans le sang
Toute une alimentation de génocide
Et le goût formé par le faux
E621, glutamate monosodique, exhausteur de goût
Qui à haute dose, nécrose le cortex
Mais plus rien ne vexe
Le capital est fou
E129, du colorant capillaire et autres aspects
Asthme, eczéma, diverses allergies
D'autres colorants, d'autres maladies
Malheureusement, du capital, ce sont les fruits
Mais puisque l'on vous dit
Qu'en 2024, les Jeux olympiques
En fait, les Jeux du fric
Auront lieu à Paris
Il n'y aurait plus qu'à se taire
Qu'à laisser tout faire !
Alors que rien que le village olympique
17000 athlètes, au moins presque deux milliards d'euros
Et ce au bas mot !
Il y a vraiment de quoi se révolter
Et ce sans jamais compter
Mais les défenses du capital
Sont déjà en place
Fausse contestation aux multiples grimaces
Toujours la première à son bal
Comme la soi-disant " France Insoumise " cette farce
Une contre-révolution d'avance, une révolution de retard
Tout y sonne faux sauf les fards
Il faudrait un volcanisme révolutionnaire
Contre staliniens, gauchistes, et tous les faux frères
Le dernier espoir d'humanité, la société libertaire !
Donc, comme le 10 avril 1815, en Indonésie
L'éruption du Tambora, à l'énergie infinie
Soixante millions de tonnes de dioxyde de soufre
Le globe recouvert, toute l'humanité qui en souffre
100.000 personnes tuées peu de jours après
Puis, au fil des années, des millions de personnes en décès
Des pillages, des fuites, d'autres forfaits
De l'épidémie, de la maladie, du choléra, de la famine
Avec aussi changement climatique, cela rime
Asie, Europe, Amérique
Et toujours en activité, la chambre magmatique
Avec peut-être un jour
Des aérosols volcaniques, le grand retour
Donc, temps humide et pluvieux, des inondations
Et le " Frankenstein " de Marie Shelley, qui ainsi, sortit de son imagination
Toutes les récoltes perdues
Changement climatique comme un dû
Mais aussi des révoltes sociales, rien de perdu !
Mais tout dans cette société
Est là pour nous contrarier
Est là pour nous renier
Est là pour nous inverser
Comme pour le vol de chéquier
Banque et commissariat, il faut aller
Chaque administration se renvoyant la balle
Et l'on est que dalle
Plainte, de plus, il faut porter
Pour espérer pouvoir être remboursé
Et comme les assurances, les banques ne veulent pas payer !
Bientôt, il faudra un avocat
Pour se rendre dans une banque ou autre
La vie sans aucune vie, voilà
Sous le capital, rien n'est vraiment nôtre
Et l'espèce humaine devenue si inhumaine
Se drogue, alcool, tabac, sport, divers stupéfiants
Messe, religions, idéologies, loisirs du conditionnement
Un mélange si édifiant
Cela dit
Le puceron a sa fourmi
Le poisson-globe a son dauphin
Le scolopendre a son lémurien
Et la liste n'est pas finie
La recherche de dopamine nous domine ainsi
Ou manger des champignons de Paris
Certes, mais du champignonniste Angel Moioli
Fumier de cheval travaillé, mycélium, terre minérale
Le règne fongique n'appartient pas au règne végétal
Un peu comme des mots
Dont certains sont si idiots
Qui nous font Tako-Tsubo
Comme là, les mots du boulot
Et puis ceux de tous les jours
Des mots légers ou des mots lourds
Le vagin au lieu de la vagin ( femme )
La verge au lieu de le verge ( homme )
La chemise au lieu de le chemise ( homme )
Le chemisier au lieu de la chemisier ( femme )
Et l'on pourrait ainsi transformer les sons
Sonogrammes d'oiseaux comme des violons
Infrarouge, ultraviolet, longueurs d'ondes
Du petit et du grand, d'autres mondes
Tout est codification
Tout est information
Chaque système en est l'interprétation
Comme les Esquimaux
Qui avec cinquante mots
Peuvent différencier le blanc
Comme quoi tout son est hallucinant
Chaque culture avec ses couleurs
Chaque culture avec ses odeurs
Chaque culture avec ses saveurs
Ses bonheurs, ses malheurs, ses terreurs
Ses rêves, ses cauchemars, ses pleurs
Ses beautés, ses laideurs
Ses chaleurs, ses froideurs
Peut-être bien dans l'Univers
Et son horloge pulsar, précision de l'Univers
C'est la recherche de dominance qui est vénéneuse
Encore plus que les cinq cent variétés d'espèces vénéneuses
Certes, la nature mycologique peut-être menteuse
Tout le mal que nous nous sommes faits
Le capitalisme, ses guerres, ses inégalités, ses méfaits
Tout le bien que nous aurions pu nous faire
Société libertaire, société révolutionnaire
Un volcan de transformation
Babouvisme en autogestion
Tout le bien que nous aurions pu nous faire
Comme une radioactivité communautaire
D'entraide, de partage, de solidarité, d'égalité
Et bien donc, l'osmose de diversité !
Pas comme le syndicalisme devenu purement cogestionnaire
Ni réformiste, ni révolutionnaire, mais fondamentalement réactionnaire
Il s'agit de calmer toutes les misères
Du capital, de participer à toutes les guerres
Bref, le syndicalisme du système
Tout ce que le capital aime !
Pas non plus comme la famille
De la haine, un jeu de quilles
La famille éclatée, dispersée, parents divorcés ou séparés
Où d'ailleurs personne ne peut se blairer
Sans compter ceux et celles qui se sont exilés
Comme une détestation généralisée
Où chaque personne doit tirer en premier
Comme une guerre civile
Pour sans se tromper, taper dans le mille
Moi, par ma famille, je suis méprisé
Je suis anarchiste, c'est donc comme une normalité
Dans cette fausse conscience conditionnée
Dans cette pensée séparée
Et je suis pourtant, et ce, depuis quelques temps
Comme très présent aidant de ma mère qui a 92 ans
Encore le monde à l'envers, rien d'étonnant
Il faut s'ignorer
Pour ne pas se cracher
Et c'est de l'individu à la famille
Et c'est de la famille à la société
Toute une haine bien cachée
Toute une haine institutionnalisée !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


SMS recibo de Nantes
Con una textura edificante
Y ello, con respecto a la manifestación del jueves 21 de septiembre
Mí, estaba en París, comitiva CNT, sin ser miembro
Con mi bandera anarquista personal
Ya que a las luchas sociales, me mezclo
Pero prefiero manifestar con los anarquistas
Ya que me desconfío de los burócratas sindicalistas
Anarchosyndicalistes y aún más de los anarchopossibilistes
Pues, este sms, que decía:

“Recapitulación de los heridos después de reagrupación de la información, cuatro
heridos a las urgencias. Cinco personas afectadas al cráneo. Veinticinco
personas afectadas por tiros de granadas. Muchas personas
afectadas por granadas de désencerclement. Todo el mundo gaseado. “

Destaró y Fred

Resumida, como siempre en Nantes
Dónde, como a otra parte, la policía hecho lo que él canta
Si debía contar el número de vez, donde se me gaseó
Casi cada vez dónde he podido manifestar
La mayor parte del tiempo en Nantes
Es un poco como unos ingresos
Y en el absoluto
Sería necesario manifestar contra todo
El capital que es por todas partes
El capital que es absoluto
Todos los partidos forman parte
Todos los sindicatos forman parte
Casi todas las organizaciones forman parte
Casi todas las asociaciones forman parte
Por ello, viva la anarquía, vive la calle
acabo de designar, de la revolución, a todos los enemigos
Acabo de designar, de la revolución, las todo enemigas
Eso no es ser sectario
Que de permanecer sobre verdaderas posiciones revolucionarias
No se puede combinarse, con que, le traicionará más tarde
Lección histórica que debería conocer todo anarquista
Para él, una bola en la espalda
O en la nuca, una vez el limón bien apremiado
Comunistas estalinistas, una especialidad
Comunistas trotskistes, para infiltrar
Aquí bien falsos comunistas, de falsos revolucionarios
Los verdaderos comunistas que no pueden ser que libertarios
Y de 1936, para mencionar este aire
De la Cataluña libertaria
Ver o revisar el documental
“Viva la anarquía, CNT AIT FAI IFA”
En Internet, que da una pequeña idea, aquí
Se descompone a los todos los estadistas
No defendiendo que los afortunados
Como fuego Nixon, este Presidente nazi
Y fuego Kissinger, a la putrefacción infinita
Viêt Nam:
Alrededor de 58000 soldados americanos matados
Y alrededor de dos millones de soldados y civiles vietnamitas matados
Alrededor de una muerte americano
Para alrededor de cuarenta matados vietnamitas
Desde 1858, por los franceses se colonizó Indochina
Luego de 1945 a 1975, la guerra de Vietnam en realidad
El verdadero valor era rechazarlo
El verdadero valor era abandonarlo
Pero, desgraciadamente
Todo está dispuesto a reiniciar
De una manera otro, que parece no repetirse
Sobre Tierra, todo es My Lego, se destroza todo
16 de marzo de 1968, mujeres, niños, lactantes, ancianos, eliminados
Civiles Sudvietnamitas
Por soldados y funcionarios americanos
Mutilados, violados, ametrallados, por lo tanto matados
Un verdadero sepulcro de masa
Y entre los culpables, ninguna verdad condenada
¡La moral militar, era necesario proteger!
Es ahora el negocios del sector agroalimentario
Quién nos mata lentamente, todo un conocimientos técnicos
O incluso, y esto a 14 para - cientos, el pretendido biológico
Contiene residuos de insecticida, herbicida, fungicida
Cuando a los productos convencionales, es a 97 para - cientos
Todo eso se encuentra en la sangre
Toda una alimentación de genocidio
Y el gusto formado por la guadaña
E621, glutamato monosódico, bomba de vacío de gusto
Quién a alta dosis, necrosis la corteza
Pero más no trastorna nada
El capital está loco
E129, del colorante capilar y otros aspectos
Asma, eczema, distintas alergias
Otros colorantes, otras enfermedades
Desgraciadamente, del capital, son los frutos
Pero puesto que se le dice
Que en 2024, los Juegos olímpicos
En realidad, los Juegos de la pasta
Tendrán lugar en París
No habría ya que callarse
¡Que a dejar hacerlo todo!
Mientras que nada que el pueblo olímpico
17000 atletas, al menos casi dos mil millones de euros
¡Y esto a la baja palabra!
Hay de verdad de que rebelarse
Y esto sin nunca contar
Pero las defensas del capital
Ya están en lugar
Falso conflicto a las múltiples muecas
Siempre la primera a su baile
Como la se supone que “Francia Insumisa” esta broma
Una contrarrevolución por adelantado, una revolución de retraso
Hay guadaña excepto las pinturas
Sería necesario un vulcanismo revolucionario
Contra estalinistas, izquierdistas, y todos los traidores
¡La última esperanza de humanidad, la sociedad libertaria!
Pues, como el 10 de abril de 1815, en Indonesia
La erupción del Tambora, a la energía infinita
Sesenta millones de toneladas de dióxido de azufre
El globo cubierto, toda la humanidad que sufre
100.000 personas matadas los pocos días más tarde
Luego, a lo largo de los años, millones de personas en muerte
Saqueos, fugas, de otros delitos
Epidemia, enfermedad, cólera, del hambre
Con también cambio climático, eso rima
Asia, Europa, América
Y siempre en actividad, la habitación magmática
Con quizá un día
Aerosoles volcánicos, la gran vuelta
Pues, tiempo húmedo y lluvioso, inundaciones
Y el “Frankenstein” de Marie Shelley, que así, salió de su imaginación
Todas las cosechas perdidas
Cambio climático como un debido
¡Pero también de las rebeliones sociales, nada de perdido!
Pero muy en esta sociedad
Está allí para oponernosotros
Está allí para rechazarnos
Está allí para invertirnos
Como para el vuelo de talonario
Banco y comisaría, es necesario ir
Cada administración que se devuelve la bola
Y se es que pavimenta
Denuncia, además, es necesario llevar
Para esperar poder reembolsarse
¡Y como los seguros, los bancos no quieren pagar!
Pronto, será necesario a un abogado
Para volverse en un banco u otro
La vida sin ninguna vida, aquí
Bajo el capital, nada no es de verdad nuestro
Y la raza humana que se han convertido en tan inhumana
Se dopa, alcohol, tabaco, deporte, distintos estupefacientes
Misa, religiones, ideologías, ocios del acondicionamiento
Una mezcla tan edificante
Dicho esto
El pulgón tiene su hormiga
El pescado-globo tiene su delfín
El ciempiés tiene su lémurien
Y no se termina la lista
La búsqueda de dopamine nos domina así
O comer champiñones
Ciertamente, pero del champignonniste Angel Moioli
Estiércol de caballo trabajado, micelio, tierra mineral
El reino fúngico no pertenece al reino vegetal
Un poco como palabras
Que algunos son tan idiotas
Quiénes nos hacen a Tako-Tsubo
Como allí, las palabras del trabajo
Y luego los diarios
Palabras ligeras o palabras pesadas
La vagina en vez de la vagina (mujer)
La barra en vez de la barra (hombre)
La camisa en vez el alinea (hombre)
La blusa en vez de la blusa (mujer)
Y se podrían así transformar los sonidos
Sonogrammes de pájaros como violines
Infrarrojo, ultravioleta, longitudes de ondas
Del pequeño y del grande, de otros mundos
Todo es codificación
Todo es información
Cada sistema es la interpretación
Como los Esquimales
Quién con cincuenta palabras
Pueden diferenciar el blanco
Como qué todo su es que alucina
Cada cultura con sus colores
Cada cultura con sus olores
Cada cultura con sus sabores
Sus felicidades, sus desdichas, sus terrores
Sus soñados, sus pesadillas, sus llantos
Sus bellezas, sus fealdades
Sus calores, sus frialdades
Quizá bien en el Universo
Y su reloj pulsar, precisión del Universo
Es la búsqueda de predominio que es venenosa
Aún más que las cinco ciento variedades de especies venenosas
Ciertamente, la naturaleza micológica quizá mentirosa
Todo el mal que nos hicimos
El capitalismo, sus guerras, sus desigualdades, sus fechorías
Todo él aunque habríamos podido hacernos
Sociedad libertaria, sociedad revolucionaria
Un volcán de transformación
Babouvisme en autogestión
Todo él aunque habríamos podido hacernos
Como una radiactividad comunitaria
Por ayuda mutua, división, solidaridad, de igualdad
¡Y bien pues, la ósmosis de diversidad!
No como el sindicalismo que se han convertido en puramente cogestionnaire
Ni reformista, ni revolucionario, pero básicamente reaccionario
Se trata de calmar todas las miserias
Del capital, de participar a todas las guerras
Resumidamente, el sindicalismo del sistema
¡Todo lo que al capital le gusta!
No tampoco como la familia
El odio, un juego de bolos
La familia estallada, dispersada, padres se divorciados o separados
Dónde por otra parte nadie sepuede se blairer
Sin contar aquéllos y aquéllas que se exilaron
Como un odio generalizado
Dónde cada persona debe extraer en primero
Como una guerra civil
Para sin equivocarse, mecanografiar en del miles
Mí, por mi familia, se me desprecia
Soy anarquista, es pues como una normalidad
En esta falsa conciencia condicionada
En este pensamiento separado
Y estoy con todo, y esto, desde hace algún tiempo
Como muy presente ayudando de mi madre que tiene 92 años
Aún el mundo inversamente, nada de asombroso
Es necesario ignorarse
Para no escupirse
Y es del individuo a la familia
Y es familia a la sociedad
Todo un odio bien ocultado
¡Todo un odio institucionalizado!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”


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