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Un monde de pauvreté
Por Patrice Faubert - Sunday, Jul. 22, 2018 at 5:04 AM

Misère, précarité, souffrance...

La pauvreté
C'est la personne sous curatelle
La pauvreté
C'est la personne sous tutelle
Cela renvoie aussi
Pas toujours, mais parfois, à la psychiatrie
La solitude, l'alcoolisme, la souffrance psychique
Riches ou pauvres, avec son spécifique
La pauvreté
C'est la délinquance, la prison
La bagarre, la violence, l'exclusion
La pauvreté sexuelle
La pauvreté intellectuelle
La pauvreté matérielle
La pauvreté spirituelle
La pauvreté affective
Partout la pauvreté est effective
Pas seulement le clochard
Mais aussi le richard
La pauvreté est multifactorielle
La pauvreté est multivectorielle
Tout étant en interaction
La pauvreté est une contamination
Et tous et toutes
Nous respirons, somme toute
Des molécules chimiques toxiques
Des dizaines de milliers de substances chimiques
C'est maintenant notre environnement
Il faudrait une détoxification
Allergies, asthme, trois fois plus en quarante ans
Pollution de l'air, surpopulation
Toutes les particules pathologiques
Grandes villes chinoises, Mexico, c'est tragique
Mais aussi d'autres villes comme Paris
Dans la pollution aucune ville ne s'envie
Mais notre métagnomie
Est sous anesthésie, et de tout, fait fi !
Comme aussi la pauvreté
Qui nous empêche de nous déplacer
Et à résidence, nous sommes assignés
Et c'est chez soi où c'est encore le plus pollué
Bougies, encens, plantes et donc moisissures
Il vaut mieux éviter
Et surtout toujours aérer
Le monde est comme une ordure
Nous en sommes les poubelles, cela est sûr
Ce monde est un totalitarisme
Mot inventé vers 1927, par la démocratie catholique
Tellement le fascisme mussolinien était frénétique
En ce domaine nous pouvons lui faire confiance
Le totalitarisme c'est son domaine, sa science
Bien avant les djihadistes
L'extrême droite de l'extrême droite, ô salafistes
Et Daech qui monte en puissance
Invasion, retrait, USA en obsolescence
L'impérialisme américain a fait son marché
La haine entre chiites et sunnites, bien attisée
Et tout ce fanatisme religieux
Militairement formé par d'anciens baasistes, encore eux
Cela est finalement dans ces pays
Où la pire calamité est l'anarchie
Comme quoi
Il y a toujours pire, ma foi
Comme aussi le RU 486 ( né en 1926 ) du professeur Baulieu
Cette mifegyne détestée par leur dieu
Par tous les catholiques fanatiques et tous les fascistes
Et pas simplement par des illuminés islamistes
Et partout dans le monde, des guerres civiles
Qui ne tuent jamais tous les imbéciles
RU 486, médicament pour avorter
Qui évite aux femmes de se charcuter
Et qui pour s'imposer
De nombreuses années, il lui fallut lutter
Médicament dont toutes les possibilités
Ne furent jamais exploitées
A cause de son utilisation abortive
Dont l'autorisation n'est jamais définitive
Cette hormone de la femme, progestérone
A l'humanité n'est pas si bonne
Cela fait de la surpopulation
Il faut donc l'avortement et la contraception
Et ne pas confondre aussi, l'orthogénie
Avec le fait d'enlever la vie
La vie ? quelle vie ?
Misère, pauvreté, souffrance
Mieux vaut ne pas naître, une évidence
Ou alors, naître en anarchie
Mais pour la plupart des gens, c'est l'utopie
Et c'est encore au Texas
Où à la bêtise, il y a plein d'as
Que sont les partisans
De cette monstruosité qu'est l'anti-avortement
La mafia de toute église
Toute église politique ou religieuse est une mafia
Une femme et ce toutes les huit minutes
Meurt d'un avortement clandestin, mais chut
Alors que si cela était vraiment légal
Aucune mortalité car cela serait banal !
La pauvreté d'un monde
Tous et toutes dans sa ronde
Des médicaments antibiotiques
Ovins, bovins, autres, humains
Comme une sarabande frénétique
Tout se déversant dans les rivières, et autres, c'est malin
Tout est dans tout
Le sage comme le fou
Parfois
Le fou est le sage
Le sage est le fou
La marchandise nous colonise
La technologie nous colonise
Nous en sommes l'idéalité
Nous en sommes l'autorité
Dans notre si hypocrite altérité
C'est comme pour l'indépendance
6 août 1962, une stance
La Jamaïque du rastafari
Est une musique hybride
Des célébrités qui en tiennent la bride
Ska, Jazz, rhythm and blues, calypso
Et l'herbe sacrée, voilà le reggae, et tout est beau
Dès 1930, la religion abrahamique rastafari
Mouvement de libération des colonies
Pour l'émancipation contre l'esclavage
Hélas, toute religion fait des ravages
Musique de résistance
Résistance de la musique
Au système oppressif contre les noirs
Babylone, il faudrait être poire
Quand le colon anglais menait tout à la trique !
Et puis, finalement
Une élite néocoloniale, décidément
Nouvelle bourgeoisie, la peau plus claire
Pour remplacer les anciens tortionnaires !
Un monde pauvre
Pauvre monde, pour riches et pauvres
Richesse de la pauvreté
Pauvreté de la richesse
Tout est vraiment à faire, tout est à inventer
Présentement, il n' y a rien à jalouser !
Pour le pauvre, aucune ou presque, vie sexuelle
Pour le riche, tout est prostitué, les séquelles
Comme les transports
En 1938, voilà la SNCF, cela aurait dû être gratuit
Pour l'avion, le bus, le métro, le tramway, le car, aussi
Et ce dans toute la France
Et dans le monde entier, sans outrecuidance
Sans aucun papier
Sans devoir en rien se justifier
Mais trains pour riches
Mais trains pour pauvres
Lignes supprimées, autocars
Lignes pas entretenues, délaissées, toujours du retard
Pour les pauvres, précaires, chômeurs
Pour les riches, TGV, même pas à l'heure
Le capital est radin
Le capital est mesquin
La religion, l'idéologie, l'autorité, la compétition
De la misère, de la guerre
Avec leurs bureaucrates et leurs technocrates
Un jour, la pauvreté, avec leurs têtes, jouera aux cartes
Tout est si finement interconnecté
Méthodes substitutives, alternatives, pour ne plus tuer
L'expérimentation animale, autre chose, pour nous soigner
Pourtant, nature, chasse, pêche, tradition
Pas mieux que la vivisection
Pour maigrir, une autre alimentation
Pas de régime, à long terme, c'est du bidon
Marcher beaucoup ou marche athlétique
Depuis 35 ans, c'est ma pratique
177 cm, 64000 grammes, 64 ans
Je ne suis pas encore sénescent
Donc, manger en arrivant vite à satiété
Bien apprécier ce qui est mangé
Cela dit, être gros ou ovale
Est comme un signe de réussite sociale pour le capital
Comme un portefeuille bien garni
Le capital contraire de la vie
Le capitalisme est obésogène
Le capitalisme est criminogène !

Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

La pobreza
Es la persona bajo curaduría
La pobreza
Es la persona bajo tutela
Eso devuelve también
No siempre, pero a veces, a la psiquiatría
La soledad, el alcoholismo, el sufrimiento psíquico
Ricos o pobres, con su específico
La pobreza
Es la delincuencia, la prisión
La trifulca, la violencia, la exclusión
La pobreza sexual
La pobreza intelectual
La pobreza material
La pobreza espiritual
La pobreza emocional
Por todas partes la pobreza es efectiva
No solamente el vagabundo
Pero también el richard
La pobreza es multifactorial
La pobreza es multivectorielle
Todo que es en interacción
La pobreza es una contaminación
Y todos y todas
Respiramos, en resumen
Moléculas químicas tóxicas
Decenas de millares de sustancias químicas
Es ahora nuestro medio ambiente
Sería necesario una desintoxicación
Alergias, asma, tres veces más en cuarenta años
Contaminación del aire, superpoblación
Todas las partículas patológicas
Grandes ciudades chinas, México, es trágico
Pero también de otras ciudades como París
En la contaminación ninguna ciudad se envidia
Pero nuestro métagnomie
¡Está bajo anestesia, y de todo, hace FI!
Como también la pobreza
Quién nosotros imposibilitado desplazarnos
Y a residencia, se nos asigna
_y esto ser en sí dónde esto ser aún más contaminar
Velas, incienso, plantas y en consecuencia mohos
Es mejor evitar
Y sobre todo siempre ventilar
El mundo está como una basura
Somos los cubos de basura, eso está seguro
Este mundo es un totalitarismo
Palabra inventada hacia 1927, por la democracia católica
Tanto el fascismo mussolinien era frenético
En este ámbito podemos hacerle confianza
El totalitarismo es su ámbito, su ciencia
Mucho antes de los djihadistes
La extrema derecha la extrema derecha, ô salafistes
Y Daech que sube en potencia
Invasión, retirada, EE.UU en obsolescencia
El imperialismo americano hizo su mercado
El odio entre chiítas y sunnites, bien atizado
Y todo este fanatismo religioso
Militarmente formado por antiguos baassistes, aún ellos
Eso está finalmente en estos países
Dónde la peor calamidad es la anarquía
Como qué
Hay siempre peor, mi fe
Como también el RU 486 (nacido en 1926) de profesor Baulieu
Este mifegyne odiada por su dios
Por todos los católicos fanáticos y todos los fascistas
Y no simplemente por iluminados islamistas
Y por todas partes en el mundo, de las guerras civiles
Quiénes matan nunca a todos los imbéciles
RU 486, medicamento para abortar
Quién evita a las mujeres hacerse una carnicería
Y que para imponerse
Numerosos años, debió lucharse
Medicamento cuyas todas posibilidades
Nunca no se explotaron
Debido a su utilización abortiva
La que autorización no es nunca definitiva
Esta hormona de la mujer, progesterona
A la humanidad no es tan buena
Eso hace la superpoblación
Es necesario pues el fracaso y la contracepción
Y no confundir también, la ortogenia
Con el hecho de retirar la vida
¿La vida? ¿qué vida?
Miseria, pobreza, sufrimiento
Es mejor no nacer, una evidencia
O entonces, nacer en anarquía
Pero para la mayoría de la gente, es la utopía
Y es aún en Texas
Dónde a la idiotez, hay lleno de as
Que son los partidarios
De esta monstruosidad que es el antifracaso
La mafia de toda iglesia
Toda iglesia política o religiosa es una mafia
Una mujer y esto cada ocho minutos
Meurt de un fracaso clandestino, pero ¡chitón!
Mientras que si eso era de verdad legal
¡Ninguna mortalidad ya que eso sería banal!
La pobreza de un mundo
Todos y muy en su ronda
Medicamentos antibióticos
Ovejas, bovinos, otros, humanos
Como una zarabanda frenética
Todo que se vierte en los ríos, y demás, es astuto
Todo está en todo
El sabio como lo pone
A veces
El loco es el sabio
El sabio es el loco
La mercancía nos coloniza
La tecnología nos coloniza
Somos el idealidad
Somos la autoridad
En nuestra tan hipócrita alteridad
Es como para la independencia
6 de agosto de 1962, una estrofa
Jamaica del rastafari
Es una música híbrida
Celebridades que tienen la brida
Ska, Jazz, rhythm and blues, calipso
Y consagrada la hierba, he aquí la reggae, y todo es bonito
Desde 1930, la religión abrahamique rastafari
Movimiento de liberación de las colonias
Para la emancipación contra la esclavitud
Desgraciadamente, toda religión hace devastaciones
Música de resistencia
Resistencia de la música
Al sistema opresivo contra los negros
Babilonia, sería necesario ser pera
¡Cuando el colono inglés conducía a muy al garrote!
Y luego, finalmente
Una élite néocoloniale, definitivamente
Nueva burguesía, la piel más clara
¡Para sustituir al antiguos de tortura!
Un mundo pobre
Pobre mundo, para ricos y pobres
Riqueza de la pobreza
Pobreza de la riqueza
Todo debe de verdad hacerse, inventárselo todo debe
¡Actualmente, no hay nada que envidiar!
Para el pobre, ninguna o casi, vida sexual
Para el rico, todo se prostituye, las secuelas
Como los transportes
En 1938, he aquí la SNCF, eso habría debido ser gratuito
Para el avión, el autobús, el metro, el tranvía, el autocar, por eso
Y esto en toda Francia
Y en todo el mundo, sin impertinencia
Sin ningún papel
Sin deber de ningún modo justificarse
Pero trenes para ricos
Pero trenes para pobres
Líneas suprimidas, autocares
Líneas no mantenidas, olvidadas, siempre del retraso
Para los pobres, precarios, parados
Para los ricos, TAV, incluso no a la hora
El capital es rácano
El capital es pequeño
La religión, la ideología, la autoridad, la competición
De la miseria, de la guerra
Con sus burócratas y sus tecnócratas
Un día, la pobreza, con sus cabezas, jugará a las cartas
Todo así sutilmente se interconecta
Métodos sustitutivos, alternativos, ya no matar
La experimentación animal, otra cosa, para ocuparnosotros
Con todo, naturaleza, caza, pesca, tradición
No mejor que la vivisección
Para perder, otra alimentación
Pas de régimen, a largo plazo, es de la lata
Ir mucho o marcha atlética
Desde hace 35 años, es mi práctica
177 cm, 64000 gramos, 64 años
No soy aún senescente
Pues, comer llegando rápidamente a saciedad
Bien apreciarse lo que se come
Dicho esto, ser grande u oval
Está como una señal de éxito social para el capital
Como una cartera bien surtida
El capital contrario de la vida
El capitalismo es obésogène
¡El capitalismo es criminogène!

Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway índice”

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