Argentina Centro de Medios Independientes (( i ))


El artículo original está en http://argentina.indymedia.org/news/2018/01/918017.php Imprimir comentarios.

Paraphysique de l'agnosticisme et du pyrrhonisme
Por Patrice Faubert - Wednesday, Jan. 31, 2018 at 9:07 PM

Du captieux et du fallacieux régissant le monde...

" Vous n'y appartenez pas cher professeur, réplique Mikhaïl, mais il est une catégorie de gens qui, s'ils ne croient pas, doivent au moins faire semblant de croire. Ce sont les tourmenteurs, les oppresseurs et les exploiteurs de l'humanité. Prêtres, monarques, hommes d'Etat, hommes de guerre, financiers publics et privés, fonctionnaires de toutes sortes, policiers, gendarmes, géôliers et bourreaux, monopolisateurs capitalistes, pressureurs, entrepreneurs et propriétaires, avocats, économistes, politiciens de tous bords, jusqu'au dernier vendeur d'épices, tous répéteront à l'unisson ces paroles de Voltaire " Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer. " et je retourne la phrase de Voltaire, et je dis " Si Dieu existait réellement, il faudrait le faire disparaître. "

Mikhaïl Bakounine ( 1814 - 1876 ) du livre " La princesse de Bakounine " de Lorenza Foschini aux éditions Quai Voltaire

La définition de la machine
N'est pas vraiment câline
C'est l'entreprise qui la définit
Stupidité fonctionnelle c'est ainsi
Comme tout enregistrement acoustique
Avec partout de la voix robotique
Dans une sorte d'indifférence
Comblée de la fausse différence
Et si la nature
Enfante de la différence
La société, elle, en fait de l'inégalité
Puis, tout s'articulant dans des mots
Des mots qui pèsent lourds
Des mots qui pèsent légers
Tout mot est ainsi historien
Son parcours ne se fait pas en vain
Ainsi le mot bougnoule
Chez les racistes, cela roule
Le corvéable à merci sur les bateaux
Mot récupéré par le colonialisme si idiot
Tout mot a sa petite histoire
Cela donne beaucoup à voir
Le mot nègre, au dix-huitième siècle, esclave noir
Puis cela devint minorité visible
Pour scotomiser tout un racisme risible
Comme aussi d'appartenance différente
La bêtise est toujours violente
Il y a aussi des insultes racistes
Il y a aussi des insultes non racistes
Alors qu'il n'existe aucune race, mais simplement des populations différentes !
Un être humain
N'est ni noir, ni blanc, ni jaune, ni rouge
Un être humain
Est un être humain, qui sans cesse, bouge
Sa couleur de peau
Peut-être ceci ou cela, et après ?
Il faut vraiment le faire exprès !
Comme tout nationalisme
Avec son propre racisme
En Hollande
Du travail à la française
En France
Du travail d'arabe
Du racisme
Chaque pays avec ses propres braises
Racisme qui le dévore comme le crabe
Et je me souviens
En rapport à maintenant, j'étais un gamin
Il y a certes longtemps
C'est bien cela aussi l'écoulement du temps
Dans un bar à Amsterdam
Dans le quartier des dames
Sur un petit panneau
Et cela n'était pas un faux
" Interdit aux chiens et aux français "
Je vous le dis, cela fait son effet
Hélas
Cela aurait pu être dans n'importe quel pays
Tant qu'il y aura du pays
Tant qu'il y aura de la patrie !
Sans compter
Toutes les blagues sexistes ou racistes
C'est du cul ou de la race
Encore et toujours de la trace
Parfois
Il y a comme une éclaircie
Rare à voir dans une vie
Presque la légalisation du haschich dans tous les Etats-Unis
Comme un tour de l'acteur, prodigieux diable, feu ( 1883 - 1951 ) Jules Berry
De l'effet thérapeutique à l'effet festif
En France, le conservateur y est encore rétif
Cannabusiness
Pour le capital, une nouvelle passe
Certes
Des effets médicaux incontestables
Petit à petit, le capital se met à table
Faire de l'argent le rend affable
Mais cela n'est pas de l'altruisme
C'est toujours là du capitalisme
Court-circuitage de tout un trafic illégal
Marché noir repris par le capital
Une image forte du spectaculaire intégré
Qui sait fabriquer du captieux éclairé
Foin de l'ex-URSS et de son spectaculaire concentré
Même sous sa fausse déstalinisation
Quand c'est le livre que l'on mettait en prison
Et non pas l'auteur
Qui de la doctrine n'était pas à l'heure
Comme pour feu ( 1906 - 1964 ) Vassili Grossman
Du livre ( 1962 ) " Vie et destin " déjà pyromane
Mais d'outre lieu, d'outre temps, même drame !
Et tout est devenu médiocre, c'est un fait
Les médecins ne sont plus ce qu'ils étaient
Jamais le même diagnostic, selon qui c'est
C'est le serment d'hypocrite
De vraiment soigner, l'on évite
C'est toujours l'argent, première motivation, qui lévite
Et tout un personnel soignant
De plus en plus incompétent
Fort heureusement, toujours des exceptions
Avec des personnes qui aiment ce qu'elles font
Il faut fuir comme la peste, toute généralisation
Puis encore, le corps humain, si méconnu
Du tissu conjonctif, fibroblaste, cela réclame son dû
Dans tout le corps, les fascias
Comme des faisceaux de combat
Une sorte d'édit de Thessalonique
380 après l'inventé Jésus, les chrétiens frénétiques
Persécutant tout ce qui bouge
Comme sous feu Franco, le noir et rouge
Vivre est devenu un salaire de la peur
C'est de l'insécure à toute heure
Mais il en a toujours été ainsi
Et toujours ainsi, à moins que n'advienne l'anarchie
1840, Proudhon, anarchiste, 1866, Bakounine, anarchie
Surtout pour la pauvreté
Surtout pour la précarité
Une façon aussi de s'en débarrasser
Comme un camp de concentration invisible
Comme un camp d'extermination invisible
Toute une fausse conscience
Qui domine et soumet le monde
De toutes les hiérarchies, c'est l'évidence
De toute organisation humaine, l'infernale cadence !
Mais
Veuillez me croire
Tout est déjà arrivé
Mais
Veuillez me croire
Sur l'échelle du temps
Tout arrive et tout arrivera
Dans l'illusoire espace-temps
Mais
Veuillez me croire
Tout ou presque est captieux
Tout ou presque est fallacieux
Nos moins, nos plus, nos mieux
Mais
Veuillez me croire
Personne n'est moins
Personne n'est plus
Personne n'est mieux
Mais
Veuillez me croire
Personne n'est mieux que personne
C'est là, la grande escroquerie qui bastonne
Mais
Veuillez me croire
Tu te crois mieux loti que moi
Je me crois mieux loti que toi
Voilà bien ce qui fait tout roi
Et tout roi est l'esclave de ses sujets, ma foi
Mais
Veuillez me croire
Déjà, nous ne sommes plus
Déjà, nous n'avons jamais été
Petit à petit, l'Univers va s'évaporer
Mais peut-être d'un Univers l'autre, du bébé
Mais
Veuillez me croire
Tout individu est indéfinissable, il faut le croire !

" L'unique fois où Mikhaïl perdit la tête pour une femme, ce fut pour Antonia, si différente par sa naissance et son intelligence de celles qu'il avait fréquentées au cours de sa vie. A ses yeux, la différence d'âge importait peu. Sa maturité à lui et sa jeunesse à elle simplifièrent même les choses. Les années extrêmement difficiles passées en prison l'avaient changé. A cinquante ans, il aimait d'un amour sincère et passionné une jeune fille de dix-huit ans : " Mon coeur saigne pour toi, lui écrivait-il. Nuit et jour, je rêve de toi. Dès que tu m'auras rejoint, nous partirons pour l'Italie. Ne crains rien, mon coeur, tu auras une femme de chambre et il y aura suffisamment pour vivre. Seulement, viens !"

La princesse de Bakounine de Lorenza Foschini aux éditions Quai Voltaire


Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


“No hay querido profesor, contraparte Mikhaïl, pero ha una categoría de gente que, si no creen, debe al menos hacer parecido de creer. Son los tourmenteurs, los opresores y los explotadores de la humanidad. Sacerdotes, monarcas, estadistas, hombres de guerra, financieros públicos y privados, funcionarios de todas las clases, policías, gendarmes, carceleros y verdugos, monopolizadores capitalistas, pressureurs, empresarios y propietarios, aguacates, economistas, políticos de todos los bordes, hasta el último vendedor de especias, todos repetirán al unísono estas palabras de Voltaire” si Dios no existiera, él serían necesario inventarlo. “y devuelvo la frase de Voltaire, y digo” si Dios existía realmente, él sería necesario hacerlo desaparecer. “

Mikhaïl Bakounine (1814 - 1876) del libro “la princesa de Bakounine” de Lorenza Foschini a las ediciones Muelle Voltaire

La definición de la máquina
No es de verdad mimosa
Es la empresa que lo define
Estupidez funcional es así
Al igual que registro acústico
Con por todas partes con la voz robótica
En una clase de indiferencia
Colmada de la falsa diferencia
Y si la naturaleza
Para de la diferencia
La sociedad, ella, en realidad de desigualdad
Luego, todo articulándose en palabras
Palabras que pesan pesados
Palabras que pesan ligeros
Toda palabra es así historiador
Su curso no se hace en vano
Así la palabra bougnoule
En los racistas, eso circula
El corvéable a gracias en los barcos
Palabra recuperada por el colonialismo tan idiota
Toda palabra tiene su pequeña historia
Eso da mucho a ver
La palabra negra, al decimooctavo siglo, esclavo negro
Luego eso se volvió minoría visible
Para scotomiser todo un racismo risible
Como también de diferente pertenencia
La idiotez es siempre violenta
Hay también insultos racistas
Hay también insultos no racistas
¡Mientras que no existe ninguna raza, pero simplemente de las poblaciones diferentes!
Un ser humano
No es ni negro, ni blanco, ni amarillo, ni rojo
Un ser humano
Es un ser humano, que sin cesar, se mueve
Su color de piel
¿Quizá esto o eso, y más tarde?
¡Es necesario de verdad hacerlo adrede!
Al igual que nacionalismo
Con su propio racismo
En Holanda
El trabajo a la francesa
En Francia
El trabajo de árabe
Del racismo
Cada país con sus propias brasas
Racismo que lo devora como el cangrejo
Y me acuerdo
En informe a ahora, era un niño
Hay ciertamente mucho tiempo
Es eso bien también la comercialización del tiempo
En un bar en Amsterdam
En el barrio de las damas
Sobre el pequeño panel
Y eso no era una guadaña
“Prohíbe a los perros y a los franceses”
Le lo digo, eso hace su efecto
Desgraciadamente
Eso habría podido ser en cualquier país
Mientras habrá del país
¡Mientras habrá de la patria!
Sin contar
Todos los bromeados sexistes o racistas
Es de la parte inferior o la raza
Aún y siempre del rastro
A veces
Hay como una mejoría
Raro a ver en una vida
Casi la legalización del hachís en todos Estados Unidos
Como una vuelta del protagonista, extraordinario diablo, fuego (1883 - 1951) Jules Berry
El efecto terapeútico al efecto festivo
En Francia, es aún reacio
Cannabusiness
Para el capital, un nuevo paso
Ciertamente
Efectos médicos innegables
Poco a poco, el capital se pone a tabla
Hacer del dinero lo vuelve afable
Pero eso no está del altruismo
Es siempre allí del capitalismo
Cortocircuito de todo un tráfico ilegal
Mercado negro recogido por el capital
Una fuerte imagen del espectacular integrado
Quién sabe fabricar del capcioso encendido
Heno de antigua Urss y su espectacular concentrado
Incluso bajo su falso déstalinisation
Cuando es el libro que se ponía en prisión
Y no el autor
Quién de la doctrina no estaba a la hora
Como para fuego (1906 - 1964) Vassili Grossman
Del libro (1962) “Vida y destino” ya pirómano
¡Pero de además de lugar, de además de tiempo, mismo drama!
Y todo se volvió mediocre, es un hecho
Los médicos no son ya quienes eran
Nunca el mismo diagnóstico, según que es
Es el juramento de hipócrita
De verdad ocupar, se evita
Es el dinero todavía, primera motivación, que lévite
Y todo un personal que se ocupa
Cada vez más ineficaz
Muy afortunada, siempre de las excepciones
Con personas que gustan quienes hacen
Es necesario huir como la peste, toda generalización
Luego aún, el cuerpo humano, así no hecho caso
El tejido conjuntivo, fibroblasto, eso reclama su debido
En todo el cuerpo, las fascias
Como haces de combate
Una clase de edicto de Salónica
380 después de inventado Jesús, los cristianos frenéticos
Persiguiendo todo lo que se mueve
Como bajo semáforo franco, el negro y
Vivir se convirtió en un salario del miedo
Es en cualquier momento del insécure
Pero todavía ha sido así
Y siempre así, a menos que ocurra la anarquía
1840, Proudhon, anarquista, 1866, Bakounine, anarquía
Sobre todo para la pobreza
Sobre todo para la precariedad
Una manera también de quitarse
Como un campo de concentración invisible
Como un campo de exterminio invisible
Toda una falsa conciencia
Quién domina y somete el mundo
Por todas las jerarquías, es la evidencia
¡De toda organización humana, el infernal ritmo!
Pero
Quiere creerme
Todo ya llegó
Pero
Quiere creerme
Sobre la escala del tiempo
Todo llega y todo llegará
En el ilusorio espacio-tiempo
Pero
Quiere creerme
Todo o casi es capcioso
Todo o casi es engañoso
Nuestros menos, nuestros más, nuestros mejor
Pero
Quiere creerme
Nadie está menos
Nadie no es ya
Nadie está mejor
Pero
Quiere creerme
Nadie está mejor que nadie
Es allí, la gran estafa que bastonne
Pero
Quiere creerme
Se crees mejor parcelado que yo
Me creo mejor parcelado que tu
Aquí bien lo que hace a todo rey
Y todo rey es el esclavo de sus temas, mi fe
Pero
Quiere creerme
Ya, no somos ya
Ya, nunca hemos sido
Poco a poco, el Universo va a evaporarse
Pero quizá de un Universo otro, del bebé
Pero
Quiere creerme
¡Todo individuo es indefinible, es necesario creerlo!

“La única vez donde Mikhaïl perdió la cabeza para una mujer, fue para diferente Antonia, tan por su nacimiento y su inteligencia de aquéllas que había frecuentado durante su vida. Según él, la diferencia de edad importaba poco. Su madurez él y su juventud ella simplificaron incluso las cosas. Los años extremadamente difíciles pasados en prisión lo habían cambiado. A cincuenta años, le gustaba de un amor sincero y apasionado a una muchacha de dieciocho años: “Mi corazón sangra para ti, le escribía. Noche y día, yo soñado con ti. En cuanto se me hayas unido, iremos para Italia. No temen nada, mi corazón, tendrás una señora de la limpieza y habrá suficientemente para vivir. Solamente, vienen!”

La princesa de Bakounine de Lorenza Foschini a las ediciones Muelle Voltaire


Patrice Faubert (2018) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

agrega un comentario



Copyleft 2001-2018 Argentina Centro de Medios Independientes (( i )). Copyleft: Se permite la copia, distribución y uso de los contenidos de Indymedia Argentina, siempre y cuando NO se utilice con fines comerciales, a no ser que se obtenga permiso expreso del autor y en todos los casos se reconozca la autoría (poniendo como fuente https://argentina.indymedia.org ). Las opiniones o artículos vertidos por lxs visitantes o colaboradorxs en el sitio pueden no reflejar las ideas de Indymedia Argentina. Usamos software libre. sf-active v0.9.4 Descargo | Privacidad