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Paraphysique de martyrologie
Por Patrice Faubert - Tuesday, Jul. 17, 2018 at 12:13 PM

Une internationale des actionnaires...

Le capitalisme
C'est un permanent cataclysme
C'est de la guerre, c'est la guerre
Et ce tous les jours
C'est le rythme économique
Qui bafoue le rythme biologique
C'est 14/18, 39/45, toutes les guerres
Des guerres, le capital est l'apôtre
Ainsi
Est édifiant le tableau que voici :
Cause des décès en 2013, dans le monde
C'est une réalité, que personne ne me gronde
Maladies cardiaques
8 139 900
Accidents vasculaires cérébraux
6 446 900
Maladies pulmonaires obstructions chroniques
2 931 200
Pneumonies
2 652 600
Maladies d'Alzheimer
1 655 100
Cancer du poumon
1 639 600
Accidents de la route
1 395 800
Sida
1 341 000
Diabète
1 299 400
Tuberculose
1 290 300
Sans compter d'autres maladies
Et aussi les suicides, jamais de pénurie
En 2012, 804 000 suicides
Dans le monde, réalité si lucide
Et aussi les accidents mortels au travail
Ou des maladies inhérentes au travail
Et c'est chaque année dans le monde
2,200 millions de mortes et de morts
Le capital toujours plus fort
Qui de toutes les aberrations, nous inonde !
Et en France
Le moustique tigre ( Aedes albopictus )
Encore plus malin que le tigre ( Panthera tigris )
Car il est encore et toujours présent
Comme déjà dans vingt départements
Et donc dengue et chikungunya
Avec les transports, tout se déplace, voilà
C'est le système de la modernisation
La modernisation du système
Pour mieux le continuer
Pour mieux l'affiner
Mais un simple moustique peut le perturber
C'est vraiment un tigre de papier
Toutes les informations télévisées
Tout ce que le capital peut chier
Et aussi de la radio, il faut les boycotter
La critique, ailleurs, il faut la chercher !
Maintenant tout est moisi
Maintenant tout est pourri
Football, arts, sport, science, politique
Partout où est le fric
Tout est prostitué
Tout est stipendié
Plus belle la vie
Poubelle la vie
Et par rapport à nos jours
Hier, la politique était troubadour
C'est dire qu'on y étouffe comme dans un four
A côté, feu ( 1904 - 1944 ) Jean Zay
Qui ministre, réforma l'éducation nationale
Plus honnête et sincère, il paraît
Ce qui en devient paranormal
Pour une culture populaire
Et une heure de sport hebdomadaire
Activités et loisirs dirigés
Travaux pratiques, pourtant, retard avancé
L'école libertaire était déjà bien plus éclairée
Car surtout sans aucune autorité
A chacun et chacune, selon les affinités
Certes, il fit beaucoup pour la bibliothèque
Sans argent, bibliobus pour se remplir la tête
En réponse au festival fasciste
1939, le festival de Cannes, plus progressiste
Le CNRS, c'est encore lui
Mais, l'on est encore très loin de l'anarchie
Finalement
Il fut assassiné par la milice
Qui fut du pétainisme, le vice !
Parmi les intellectuels d'élevage
Quelques cas volages
Ainsi, Jean Salem ( né en 1952 ) érudit et philosophe
Fils de feu ( 1921 - 2013 ) Henri Alleg, autre strophe
Alleg qui fut torturé en Algérie
C'était " La question " qu'on lui fit
Mais pas seulement à lui
Car l'on torturait en série
Donc, ce Jean Salem
C'est pas que je l'aime
Prédit, guerre, fascisme, révolution
Pour l'humanité comme absolution
Ou un mélange des trois
Moi aussi, un peu, je le crois
Mais pour la révolution, c'est quoi ?
Ou alors, de tout cela, nous y sommes déjà !
Il faudrait pouvoir déféquer
Tous temps, toutes atrocités
Avec nos sept à huit mètres des intestins
En effet, cela n'est pas rien
Dont seul le dernier mètre d'intestin
De notre caca est plus ou moins plein
Et dont les deux tiers
Sont du système immunitaire
En retard est notre modernité
Car le mieux pour déféquer
Serait de s'accroupir
Et au mal installé, de réagir
Avec un tabouret sous les pieds !
Mais après tout
C'est tout à fait fou
Il y a environ, dans notre univers
Dix mille milliards de milliards d'étoiles
Ailleurs, des compléments ou des contraires
Tout peut s'y concevoir, l'imaginaire
Tout peut s'y boire, s'y croire
L'anarchie s'y vit peut-être déjà
Où c'est le contraire qui ne peut se concevoir, c'est cela !
Partout, l'architecture de la tyrannie
La tyrannie de l'architecture
Les constructions de la tyrannie
La tyrannie de toutes les constructions
L'architecture des dictatures diverses
La dictature de l'architecture, aucune controverse
Des monuments, hôtels, immeubles, musées, maisons
Pas de hasard, tout d'être, à sa raison
Comme en 1950 à Cuba
Où cela était le paradis de toute mafia
Prostitution, drogue, sexe, blanchiment d'argent, jeux
Mafia italo-américaine, italiens et américains, encore eux
Et toujours le régime policier et militaire
Pour pouvoir faire des affaires
Comme en un temps avec la prohibition de l'alcool
Quand en pleine interdiction, la mafia rigole
Et des cadavres dans les rues
Qui se rebelle, le militaire le tue
Cuba fut un laboratoire
De l'étatisme à venir, en attendant, pour voir
Comme une colonie américaine
Et tout un peuple en déveine
Mafieux de certains pays
Stars du cinéma, pour étouffer les cris
Compagnies pétrolières américaines
Pour dévaliser le peuple, jamais elles ne traînent
Bordel pour les riches nord-américains
En 1958, pour les capitalistes, 100.000 putains
Sur catalogue, à commander par téléphone
Puis vint le castrisme que personne ne sonne
La nationalisation, la santé et la réforme agraire
Sabotage américain, la guerre
Blocus, invasion, divers attentats
Pour tenter de reprendre Cuba
D'une structure l'autre, toujours l'Etat !
Comme aussi grâce au pétrole
Du bédouin qui devint une idole
E.A.U Emirats arabes unis
En 1971, de feu ( 1918 - 2004 ) le cheikh Zayed
Quand le protectorat anglais cède
La fédération du pognon uni
Sur l'exploitation, la mort, tout se construisit
Sans le Bahreïn et le Qatar
Qui firent bande à part
Modèle occidental en version luxueuse
Sous-prolétariat surexploité, gueux et gueuses
Abou Dabi, Dubaï, acier, béton, fer
Le tout artificiel à ciel ouvert
Exploitation mortifère de la main d'oeuvre étrangère
Un parlement des tribus
Qui du monde, a pignon sur rue
Le sable qui devient de l'or
Des compagnies pétrolières, un port
Une internationale des actionnaires
Sans patrie sont les milliardaires
Et même le plus austère désert
De ce que la géologie ne peut pas faire
Aussi rapidement, que l'argent du pétrolifère
D'une façon l'autre, c'est partout pareil
Le martyrologe de l'argent soleil
De tous les temps, de toutes les époques
De tous les régimes, de toutes les vies, l'argent se moque
Argent sans vie, vie de l'argent
Des guerres, des misères, sont ses enfants !

Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "

El capitalismo
Es un permanente cataclismo
Es de la guerra, es la guerra
Y esto todos los días
Es el ritmo económico
Quién ridiculiza el ritmo biológico
Es 14/18, 39/45, todas las guerras
Guerras, el capital es el apóstol
Así
Es construyendo el cuadro que ahí tienes:
Causa de las muertes en 2013, en el mundo
Es una realidad, que nadie me no truena
Enfermedades cardíacas
8.139.900
Accidentes vasculares cerebrales
6.446.900
Enfermedades pulmonares obstrucciones crónicas
2.931.200
Pulmonías
2.652.600
Enfermedades de Alzheimer
1.655.100
Cáncer de pulmón
1.639.600
Accidentes de tráfico
1.395.800
SIDA
1.341.000
Diabetes
1.299.400
Tuberculosis
1.290.300
Sin contar otras enfermedades
Y también los suicidios, nunca de escasez
En 2012, 804.000 suicidios
En el mundo, realidad tan lúcida
Y también los accidentes mortales en el trabajo
O de las enfermedades inherentes en el trabajo
Y es cada año en el mundo
2,200 millones de muertas y de muertes
El capital siempre más muy
¡Quién de todas las aberraciones, nos inunda!
Y en Francia
El mosquito tigre (Aedes albopictus)
Aún más astuto que el tigre (Panthera a Tigris)
Ya que está presente aún y todavía
Como ya en veinte departamentos
Y en consecuencia dengue y chikungunya
Con los transportes, todo se desplaza, aquí
Es el sistema de modernización
La modernización del sistema
Para seguirlo mejor
Para precisarlo mejor
Pero un simple mosquito puede perturbarlo
Es de verdad un tigre de papel
Toda la información televisada
Todo lo que el capital puede cagar
Y también de la radio, es necesario boicotearlos
¡La crítica, a otra parte, es necesario buscarla!
Manteniendo todo se enmohece
Manteniendo todo se descompone
Fútbol, artes, deporte, ciencia, política
Por todas partes donde es la pasta
Todo se prostituye
Todo stipendié
Más bonito la vida
Cubo de basura la vida
Y con relación a nuestros días
Ayer, la política era trovador
Es decir que se obstruye como en un horno
A de la parte de, fuego (1904 - 1944) Jean Zay
Quién el Ministro, reformó la educación nacional
Más honesto y más sincero, parece
Lo que se vuelve paranormal
Para una cultura popular
Y una hora de deporte semanal
Actividades y ocios dirigidas
Trabajos prácticos, sin embargo, retraso avanzado
Se encendía a la escuela libertaria ya bien más
Ya que sobre todo sin ninguna autoridad
A cada uno y cada una, según las afinidades
Ciertamente, hizo muchas para la biblioteca
Sin dinero, bibliobús para llenarse la cabeza
En respuesta al festival fascista
1939, el festival de Cannes, más progresista
El CNRS, es aún él
Pero, se está muy aún lejos de la anarquía
Finalmente
Se asesinó por la milicia
¡Quién estuvo del pétainisme, el defecto!
Entre los intelectuales de ganadería
Algunos casos volubles
Así pues, Jean Salem (nacido en 1952) erudito y filosófico
Hijo de fuego (1921 - 2013) Henri Alleg, otra estrofa
Alleg que se torturó en Argelia
Era “la cuestión” que se le hizo
Pero no solamente él
Ya que se torturaba en serie
Pues, este Jean Salem
No es que lo me gusta
Predice, guerra, fascismo, revolución
Para la humanidad como absolución
O una mezcla del tres
Por eso un poco, lo creo
¿Pero para la revolución, es que?
¡O entonces, de todo eso, ya hay!
Sería necesario poder defecar
Todo tiempo, todas las atrocidades
Con del siete a ocho metros de los intestinos
En efecto, eso no es nada
El que solamente último metro de intestino
De nuestra caca es más o menos lleno
Y los que dos tercios
Están del sistema inmunitario
En retraso es nuestra modernidad
Ya que mejor para defecar
Sería ponerse en cuclillas
Y al mal instalado, de reaccionar
¡Con un taburete bajo los pies!
Pero después de todo
Es totalmente loco
Hay alrededor, en nuestro universo
Diez mil de mil millones de mil millones de estrellas
A otra parte, complementos o contrarios
Concebírselo todo puede, el imaginario
Bebérselo todo puede, creerse
La anarquía ya se vive quizá
¡Dónde es el contrario que no puede concebirse, es eso!
Por todas partes, la arquitectura de la tiranía
La tiranía de la arquitectura
Las construcciones de la tiranía
La tiranía de todas las construcciones
La arquitectura de las distintas dictaduras
La dictadura de la arquitectura, ninguna controversia
Monumentos, hoteles, edificios, museos, casas
Pas de casualidad, muy de ser, a su razón
Como en 1950 a Cuba
Dónde eso era el paraíso de toda mafia
Prostitución, droga, sexo, blanqueo de dinero, juegos
Mafia italoamericana, italianos y americanos, aún ellos
Y siempre el régimen policial y militar
Para poder hacer asuntos
Como en un tiempo con la prohibición del alcohol
Cuando en plena prohibición, la mafia se ríe
Y de los cadáveres en las calles
Quién se rebela, el militar lo mata
Cuba fue un laboratorio
Del estatismo futuro, a la espera de, para ver
Como una colonia americana
Y todo un pueblo en mala pata
Mafioso de algunos países
Estrellas del cine, para obstruir los gritos
Compañías petrolíferas americanas
Para desvalijar el pueblo, nunca no arrastran
Burdel para los ricos norteamericanos
En 1958, para los capitalistas, 100.000 putas
Sobre catálogo, a controlar por teléfono
Luego vino el castrisme que nadie suena
La nacionalización, la salud y la reforma agraria
Sabotaje americano, la guerra
Bloqueo, invasión, distintos atentados
Para intentar reanudar Cuba
¡De una estructura otro, siempre el Estado!
Como también gracias al petróleo
Del beduino que se convirtió en un ídolo
E.A.U Emiratos Arabes Unidos
En 1971, de fuego (1918 - 2004) el cheikh Zayed
Cuando el protectorado inglés cede
La federación de la pasta unida
Sobre la explotación, la muerte, todo se construyó
Sin Bahrein y Qatar
Quiénes hicieron banda a un lado
Modelo occidental en versión lujosa
Subproletariado sobreexplotado, pordiosero y lingotes
Abou Dabi, Dubaï, acero, hormigón, hierro
Todo ello artificial a cielo abierto
Explotación mortífero de la mano de obra extranjera
Un Parlamento de las tribus
Quién del mundo, tiene piñón amargo cocea
La arena que se convierte en oro
Compañías petrolíferas, un puerto
Un internacional de los accionistas
Sin patria son los multimillonarios
E incluso el más austero desértico
De lo que geología no puede hacer
Por eso rápidamente, que el dinero del conteniendo aceite
De una manera otro, es por todas partes similar
El martyrologe del dinero sol
Por todo el tiempo, de todos los tiempos
Por todos los regímenes, de todas las vidas, el dinero se burla
Dinero sin vida, vida del dinero
¡Guerras, miserias, son sus niños!

Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway índice”

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