On saturday, a combined operation by the bolivian military and police has led to the killing of at least 5 Aymaran peasants in Achacachi when the so-called "caravan of rescue", commanded by defense minister Calrlos Sanchez Berzaín, tried to run the blockades that were put up some days ago in the region of the plateau.
All this took place in the context of a national uproar
caused by the plans of president of Bolivia, the "gringo"
Sanchez de Lozada, to hand out the gas to the transnational
companies.
The Aymaran farmers also were also demanding the fulfillment
of 72 points agreed with the government during 2001.
Furthermore they requested the release of a leader accused
of murder for his participation in an act of community
justice. Some leaders of the Pachakutik indigenious movement
(MIP), who were in a hunger strike over the same issues,
have returned to their communities to organize and to
radicalize their ways of protest.
For their part, the town of Sorata is taken by the
demonstrators, who have burned the local facilities of the
government and the police station. A day earlier, on the the
19th of september, in the whole country 150,000 people went
to the streets in response to the government plans.
The protests were called for by a new organizacion, the
"Coordinator of the Gas", which consists of a diverse group
of unions and social movements from all over Bolivia.
Bolivia has the second largest gas reserves in latin america
(after Venezuela), and is therefore a cherished prey for
those who want to continue controlling and appropriating the
natural resources of others.
Yesterday the gold and the silver of the Potosí plateau
went, with miners dying in the excavations and the money
traveling to the other end of the world. Today they want to
go further and deeper.
From our place, we greet the Bolivian people, and especially
our brothers and sisters of Indymedia La Paz, who yesterday
had to cope with being arrested while they covered the
protests and took part in them. Jallalla friends!
Hier dans la soirée, cette derniere s'absente un moment du cours de Droit qu'elle suit auprès de la faculté de Droit de Rosario. Sa garde personnelle, appartenant aux forces de l'ordre, ne prete pas attention à son absence. Depuis ce moment, Susana Abalo a disparu. La police apellée sur les lieux, a pu remonter sa piste jusqu'aux toilettes de la faculté de Droit. Sa disparition fait suite a trois aggresions dans le courant des derniers six mois. La derniere en date consista à tirer une bombe sur son lit pendant que celle-ci était en train de dormir, lui brulant ainsi les jambes. Susana sortait a peine d'une maladie, la sclerose en plaques, qui l'immobilisait et l'obligeait à etre constamment dans une chaise roulante. Cette troisieme agression, mettant directement en peril son intégrité physique, a eu lieu alors que Susana etait accompagnée, depuis le deuxieme attentat contre sa personne, d'une garde rapprochée de la police.
Militante chrétienne de base, travaillant dans le quartier de villa Banana a Rosario, celle-ci est une figure connue qui, depuis son arrivée à Rosario, lutte contre le "gatillo facil" (la gachette facile) dont sont victimes les jeunes des quartiers pauvres. Depuis six mois, celle-ci est constemment l'objet d'attaques mettant en danger sa vie, jusqu'à son enlevement hier soir. La première atteinte a son intégrité physique a eu lieu à son domicile, ses aggresseurs la tirérent de son lit, la frappèrent sauvagement, et ces derniers agissèrent à visage découvert ( et ce afin de démontrer l'impunité avec laquelle ceux-ci opèrent). La seconde a lieu dans les toilettes de l'universite Nationale de Rosario, où son aggreseuse l'a violemment frappée alors que Susana etait en chaise roulante. Le troisieme attentat, precédé celui-ci d'une lettre de menace, eut lieu a son domicile alors que la garde personnelle, qui lui a été attribuée depuis le deuxieme attentat, était aux portes de son domicile.
L'impunité, ainsi que le sadisme avec lesquels se sont déroulés les trois aggresions, ne laissent planer aucun doute sur le fait qu'il s'agit d'un groupe protégé, surement, par ceux qui tiennent les rennes du pouvoir dans la province de Santa Fe. Il est par ailleurs connu de tous les journalistes de Rosario qu'il est interdit de mentionner, avec les attaques souffertes par Susana, le nom du secretaire de la securite ENRIQUE ALVAREZ et du gouverneur CARLOS REUTEMANN.
Nous exigeons la reaparition en vie immédiatement de Susana Abalo et la fin de la répression des mouvements sociaux qui, a l'approche des élections présidentielles, se fait chaque jour plus présente et féroce. Il est indispensable de faire sentir aux autorites que Susana Abalo n'est pas seule.
Vendredi autour de minuit , selon la police et l´hopital, Susana Abalo est de nouveau apparue dans la ville de Belville de la province de Cordoba. Elle marchait les mains attachées dans la gare de Belville, elle présente d´apres le juge des brulures de cigarettes et des traces de coups sur le corps. Jusqu a présent, Susana Abalo n est pas encore entree en contact avec la presse.
Plus d infos sur www. argentina.indymedia.org/rosario/
Le jeudi dans la soirée, cette derniere s'absente un moment du cours de droit qu'elle suit aupres de la faculte de Droit de Rosario. Sa garde personnelle, appartenant aux forces de l'ordre, ne prete pas attention à son absence. Depuis ce moment, Susana Abalo a disparu. La police apellée sur les lieux, a pu remonter sa piste jusqu'aux toilettes de la faculté de Droit. Sa disparition fait suite à trois aggresions en six mois. La derniere en date consista a tirer une bombe sur son lit pendant que celle-ci était en train de dormir, lui brulant ainsi les jambes. Susana sortait à peine d'une maladie, la sclérose en plaques, qui l'immobilisait et l'obligeait à etre constemment dans une chaise roulante. Cette troisieme agression, mettant directement en peril son intégrité physique, a eu lieu alors que cette derniére etait accompagnée, depuis le deuxieme attentat contre sa personne, d'une garde rapprochée de la police.
Militante chrétienne de base, travaillant dans le quartier de villa Banana a Rosario, Susana Abalo est une fugure importante de la militance de base, depuis son arrivee a Rosario, celle ci s'est attachée à défendre et à présenter devant la justice tous les cas de tortures, meurtres apelles "gatillo facil" (la gachette facile) de la police dont sont victimes les jeunes des quartiers pauvres. Depuis six mois, celle-ci est constemment l'objet d'attaques mettant en danger sa vie, jusqu'à son enlevement hier soir. La première atteinte a son intégrité physique a eu lieu dans son domicile, ses aggresseurs la tirérent de son lit, la frappèrent sauvagement, et ces derniers agissèrent à visage découvert ( et ce afin de démontrer l'impunité avec laquelle ceux-ci opèrent). La seconde a lieu dans les toilettes de l'universite Nationale de Rosario, oú son aggreseuse la frappe violemment alors que Susana était en chaise roulante. Le troisieme attentat, précedé celui-ci d'une lettre de menace, eut lieu a son domicile alors que la garde personnelle, qui lui a été attribuée depuis le deuxieme attentat, était aux portes de son domicile.
L'impunité, ainsi que le sadisme avec lesquels se sont passés les trois attentats demontrent clairement qu'il s'agit d'un groupe protégé, surement, par ceux qui tiennent les rennes du pouvoir dans la province de Santa Fe. Il est connu, de tous les journalistes de Rosario, qu'il est interdit de mentionner en lien avec les attaques souffertes par Susana le nom du secretaire de la securite ENRIQUE ALVAREZ et du gouverneur CARLOS REUTEMANN.
Nous exigeons la reaparition en vie immédiatement de Susana Abalo et la fin de la répression des mouvements sociaux qui, a l'approche des élections présidentielles, se fait chaque jour plus présente et féroce. Il est indispensable de faire sentir aux autorites que Susana Abalo n'est pas seule.
Comunicado de prensa : Communauté étudiante
Since Thursday night thousands have gathered around the Brukman factory in Balvanera, Buenos Aires to support the workers that where evicted on Thursday at 11 PM. The Federal Police has deployed a massive operation which includes some 100 officers in and in front of the factory and hundreds more in the neighborhood around the factory; Human Rights groups are calling it a militarized zone, while the police has paraded live ammunition strapped to their chest (red cartridges). The workers and those who support them however are standing firm and will not leave until the factory is controlled by the workers once again. On Sunday at 3pm the workers have called for a massive gathering to be held in front of the factory.
The Brukman factory was taken over by it's workers in the year 2001 after the owners went bankrupt. It has since been ran and controlled by it's workers. The factory has been along with Zanon examples of the workers struggles in Argentina to reclaim bankrupt factories and having them be reopened by their workers; Workers have recovered and control now over 200 businesses and factories in Argentina.
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